Sarkozy, médecin sans remède
Il est allé au chevet des pêcheurs. Rien.
Il a couru au chevet de Gandrange. Moins que rien.
Il s’est rendu au chevet des banlieues. Plus rien.
Il a été au chevet de l’environnement avec le Grenelle. Plus un sou.
Au chevet de Renault Sandouville, il s’est fait huer et rien n’est réglé.
A chaque fois que le médecin se déplace, la santé des patients s’aggrave. On préférerait finalement qu’il reste chez lui…